Cambodia

D’abord, non nous n’avons pas arrêté le blog ! Mais ces derniers jours, nous n’arrivions pas à avoir la wi fi donc les articles sont en attente…Le retard va se combler rapidement .

Du hublot de l’avion, nous apercevons un pays plat et une végétation sèche avec quelques palmiers, quelques arbres et des rizières malgré tout.

Nous atterrissons et direction les « visas on arrival ». Les formalités sont rapides et à peine un quart d’heure plus tard,  visa d’un mois en main, nous passons les douanes. L’entrée sur le territoire est très contrôlée : nous sommes d’abord pris en photo par une caméra numérique et puis ce sont nos empruntes digitales que nous donnons. Nous avons rempli dans l’avion un  questionnaire avec des informations très précises et concrètes comme l’adresse de l’hôtel dans lequel nous descendons et nous le tendons.

Sur l’artère qui mène au centre ville, à droite une allée de frangipaniers en fleurs et à gauche des énormes acacias.

Phnom Penh, littéralement veut dire « la colline de Penh ». Selon la légende, une vieille dame découvrit quatre représentations de Bouddha sur les berges du Mékong. C’est ainsi que naquit la capitale.

 Regarder le matin phnom penh se réveiller est un véritable spectacle

Premières impressions  en vrac… Les  Cambodgiens ont la peau plus foncée par rapport aux autres pays d’Asie que nous avons visités,  leur sourire irradie leur visage, ils sont gentils et se précipitent pour nous aider. Ils nous font rire quand nous croisons leur regard sur le fauteuil de Bernard : c’est un regard d’enfant ébahi, il fait chaud mais la chaleur n’est pas aussi étouffante qu’en Thaïlande, la ville est à taille humaine comme Chiang Maï  et on s’y sent tout de suite bien.

D’abord, direction : l’ambassade de France. Voyager autant de temps, c’est aussi avoir prévu des stocks de médicaments que nous avons envoyés ici et là parce qu’il était impossible de tout prendre dans nos bagages. Ce ne fut pas une mince affaire et certaines ambassades ont refusé de recevoir pour nous les colis. Nous voulons remercier l’ambassade de France du Cambodge qui a eu une réaction particulièrement humaine  en nous contactant (le consul de France nous avait même téléphoné avant de partir) et qui a accepté avec plaisir.

Demain, nous allons chercher Laurence et Patrick, nos brignonnais de cœur…