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lundi 10 octobre 2011

Malaisie Pong

Nous avons rencontré deux autres pongistes : Asila et David, je sais maintenant qu’ils forment les équipes masculine et féminines nationales, avec Clancy,  Uncle Foo et Bathma.

A force d'entraînements, je m'améliore.....
Tonton fou-fou n'en revient pas!!
http://www.youtube.com/watch?v=zuYWA0HSTmM
Bathma nous a fait rencontrer Christina, professeur universitaire à Kuala Lumpur ; et qui, à ses heures creuses, essaie d’organiser les compétitions, les rencontres sportives internationales (ils sont allés 2 fois au Japon, et vont partir en Novembre en Indonésie. Et, elle est en plus leur entraîneur !

Chaque fois on nous réserve un accueil très chaleureux.  On se sent comme chez nous et on a cette étrange impression de se connaitre depuis longtemps.  Bathma est une femme bourrée d’énergie et ses grands yeux verts-noisette illuminent son visage. Quant à Christina, on sent la femme intelligente derrière son côté simple et avenant. Nous avons beaucoup de chance de les avoir rencontrées. On remercie encore une fois Béatrice de la fftt !!

Nous avons partagé un repas avec Bathma et Christina, et peu à peu la structure de leur club et des qualifications pour les équipes nationales prennent forme. Ils ont très peu d’aides gouvernementales, ce sont les sponsors (firmes nationales, comme les banques) qui prennent le relais.

Il apparaît nécessaire qu’un lieu fixe  d’entraînement soit trouvé ; en effet, certains joueurs semblent assez individualistes (« je ne veux pas ce coatch » ou encore « je veux jouer à tel endroit »)…

Les joueurs sont aussi atomisés dans la ville et dans la région : chacun s’entraîne à sa façon, et quand il le veut. Le fait d’avoir un lieu, des jours et des heures d’entraînements, un ou plusieurs coatchs, devraient donner un esprit d’équipe qui manque, et aussi augmenter le potentiel des joueurs.

Bathma comme Christina sont deux femmes très actives dans leurs domaines, et nous avons eu et allons avoir un planning chargé de rencontres « pongistiques ».

C’est aussi une manière de connaître la Malaisie par un autre côté de la lorgnette ; on apprend aussi beaucoup autour des conversations entre deux matchs.

Par exemple qu’il n’y a pas en Malaisie que des écoles riches, il y a aussi des écoles pauvres (Tamouls), dont les enfants prennent le bateau pour s’y rendre. Une nouvelle piste pour nous…. A suivre .

1 commentaire:

  1. Bonjour a vous Quatre
    la je te vois plus serein l'effet de surprise et fini bravo Bernard
    aller a la prochaine
    Laurence Patrick

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